Les poussières de bois dispersées dans l'air, quel que soit le type du bois, peuvent induire des pathologies respiratoires et cutanées. La durée d'exposition constitue un facteur aggravant.
Le dépôt répété des poussières les plus grosses dans les voies respiratoires supérieures peut être à l'origine de cancers des cavités nasales et des sinus. Les plus fines peuvent parvenir jusqu'aux alvéoles pulmonaires et y provoquer des lésions. Les poussières de bois peuvent également provoquer des lésions d'irritations de la peau et des muqueuses et entraîner des phénomènes d'allergie (eczéma, rhinite, asthme).
Depuis le 1er juillet 2005, la valeur limite d'exposition professionnelle (VLEP) à ne pas dépasser dans l'atmosphère des lieux de travail a été fixée à 1mg/m3.
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